Les Coflocs – Génération Tour du Monde

Dimanche après midi, un temps de chien à l’extérieur, la luminosité qui baisse à vue d’oeil, … Envie d’évasion et de paysages de carte postal, de changement !

Toi même tu connais le combo de recherche « Netflix-Youtube-Streaming » pour au final, regarder une énième rediffusion d’unépisode des Experts sur AB3 🙂

Mais mon oeil est attiré par la vignette suivante sur la célèbre plateforme de vidéo. J’adore les reportages où l’on suit le quotidien de différentes personnes, cela permet généralement des points de vues divergents.

Allez hop, je lance et me laisse embarquer …

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« GENERATION TOUR DU MONDE » est un film d’une 50taine de minutes qui tire le portrait de 10 voyageurs du bout du monde. Réalisé par Florian Mosca et Laurent Lingelser, alias les Coflocs, un duo passionné de voyage.

Ce webdocumentaire hors du commun nous fait voyager à travers les plaines mortes de Sibérie jusqu’aux chaleurs de la savane d’Afrique du Sud et ce, à travers le quotidien de 10 personnes. Qu’ils soient partis en solo, couple ou en famille, tous nous expliquent leurs démarches, leur ressenti et leurs conseils par rapport à leur projet de tour du monde.

Les images et la bande-son nous emportent aux quatre coins du monde et les citations qui apparaissent au fur et à mesure du reportage, sont tout autant d’électro-chocs pour le cerveau.

A travers tout le reportage, on comprend que le seul obstacle majeur à ne pas partir, c’est nous même. Nos angoisses nous enferment dans notre train train quotidien et notre cocon de confort. Comme le dit si bien l’une des protagonistes, les trois freins sont l’argent, la famille et le travail.

Mais au final, chacun à sa vision du tour du monde : cela peut être sac à dos en auto-stop comme en voiture dans des hotels. Il n’y a pas qu’un tour du monde et c’est ça le plus beau dans tout ces projets : la diversité, les rêves et les ambitions de chacun.

Et toi, pauvre âme, dans tout ça ?

Une seule pensée après avoir visionner ce magnifique reportage : « Qu’est ce que je fous encore ici, Bordel ! »

 

 

Mort à la nouvelle orthographe !

Amoureux de la langue française qui vous révoltez face à la réforme orthographique de 1990, vous qui êtes tellement attachés à l’étymologie et à l’histoire de nos mots, je vous ai entendus et je vous ai compris.

Halte aux mots impropres, halte à ces contrefaçons qu’on tente de nous imposer ! Il est temps de revenir à une orthographe acceptable, car elle est la clef de notre brillante culture. Cessons de parler aux dompteurs car leur « p » est à l’origine une erreur, revenons aux donteurs, dont la profession est bien plus légitime. Sus aux Thibault ! Leur L est infâme -mais que dis-je !- infame, puisqu’il s’agit d’une aberration linguistique, le « l » étant déjà contenu dans le « u ». Revenons au Theudbald originel ! Arrêtons (arestons ?) de défendre cet ignoble accent circonflexe, il n’est qu’une déformation de notre si belle langue, soyons-en seurs ! Pourquoi écrire « île » alors que nous pouvons écrire « isle » ? Pourquoi une « mûre » plus tost qu’une « meure » ? J’en suis esqueurée.

Tous ensemble, réagissons contre la nouvelle orthographe qui nous provoque tant de desgoust !

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Bon. Sérieusement.

-L’orthographe est un outil, pas une relique sacrée ;

-Une langue vivante est une langue qui évolue (ou bien vous voulez que notre cher français devienne le prochain latin) ;

-La nouvelle orthographe me brûle les yeux, tout comme la disparition progressive du son « è » au profit du « é »,  du son « un » au profit du son « in » me brûle les tympans…

-…tout comme nos ancêtres sont choqués de nous entendre dire « jungle » et non « jongle » (selon la 8e édition du Dictionnaire de l’Académie)  ;

-Les trois quarts des exemples montrés sur facebook sont d’une syntaxe/grammaticalité douteuse et sont erronés puisqu’ils évoquent des termes qui sont inchangés (jeûne, sûr…) ;

-Le Cental a fait un super outil pour traduire nos textes en nouvelle orthographe : http://www.uclouvain.be/recto-verso/essaie-recto.html

-J’ai beau être un véritable grammar nazi quand je veux, je sais aussi relâcher mon sphincter, surtout en ce qui concerne des histoires qui ont sont presque aussi vieilles que moi.

Des bécots !

Aestra

Au commencement était le début

Redwequin, c’est un peu comme le Big Bang : c’est le résultat de l’absurde rencontre entre une romaniste incohérente aux cheveux rouges qui aime le métal et une sympathique orientaliste asociale qui fait du théâtre et ne vit que pour les requins.

Leur impact donne un univers empli de coups de cœur (un peu) et de gueule (beaucoup), de scénarios où les transsexuels incestueux assassinent leurs voisins dans des bains de sang, de stratégies pour mieux tuer les zombies, de divagations sur la fin de Game of Thrones, d’émerveillement dans des parcs d’attraction, de danse sur les Backstreet Boys, de dégustations de bières fruitées, d’essais polaroïques plus ou moins fructueux…

Nous voici enfin en partenariat pour démarrer un blog qui s’annonce…. captivant ^^

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Miss Wequin & Aestra